French Edition: Chasteté, Paris et Cruising
Special French-language edition featuring three stories: long-term chastity, cruising in Paris, and a gay cruise with his Master

This is a special French-language edition of A Fag’s Journey into Submission.
Dans cet épisode spécial en français, HouseSlaveFag invite à découvrir trois posts traduits de son œuvre de kink gay. Le premier revient sur ses débuts en chasteté à long terme, devenue une clé de sa soumission (05:09). Le deuxième raconte ses expériences dans trois bars de cruising à Paris (10:56). Enfin, il partage un extrait de son podcast premium : un récit jour par jour de sa dernière croisière avec son Maître, où les croisières gays deviennent un terrain de jeu privilégié pour montrer qu’il est son esclave (16:21).
You can listen to this episode on Apple Podcasts, Spotify, and other platforms. The full transcript in French is provided below.
This episode translates from English the following two blog posts and an excerpt from a bonus podcast episode:



Transcription
Hello.
Salut.
My clarification in English comes after the French one.
Merci de rejoindre cet épisode spécial en français de « Le voyage d’une lope vers la soumission ». Permets-moi de clarifier cela rapidement pour mes auditeurs anglophones, puis je continuerai cet épisode en français.
In this episode I decided to make an effort for the benefit of French-speakers. I'm on a mission to get quality kinky content to as many people as I can. So after seeing how my Spanish language episode exposed my podcast to so many more people, especially in Mexico, I'd like to try to reach more Francophone people too. So the rest of this episode will be in French. Thank you for your understanding. Until my next time in English, be well, be good, and have fun.
Commençons ! Si c’est la première fois que tu écoutes mon podcast, je te souhaite la bienvenue. J’espère que tu vas kiffer, et si tu te sens à l’aise, peut-être que tu auras envie de jeter un coup d’œil à mon contenu en anglais.
Laisse-moi me présenter. Je suis House Slave Fag. Ça fait presque deux ans que j’ai commencé à écrire sur mon blog, en partageant de manière honnête et intime mes expériences, réflexions et fantasmes sexuels et érotiques. Récemment, j’ai aussi publié des livres numériques que tu peux acheter directement chez moi, ou retrouver dans plusieurs librairies en ligne. Va sur mon site HouseSlaveFag.ghost.io/books. Et désolé, mon IA ne sait pas encore prononcer “point” à la française entre les mots anglais.
Maintenant, laisse-moi préciser comment cet épisode a été créé. Comme toujours, pour ma vie privée et aussi parce que je pense que ça rend l’écoute plus fun, j’utilise cette adorable voix IA. Dans cet épisode, j’ai également utilisé l’IA pour la traduction. Mon français est intermédiaire, donc je n’ai peut-être pas repéré toutes les fautes. J’espère que tu me pardonneras.
J’espère que tu trouveras cet épisode assez fun et enrichissant pour te donner envie d’écouter aussi les autres épisodes en anglais, si tu te sens à l’aise. Mais dis-moi ce que tu en penses. Est-ce la première fois que tu entends mon podcast ? As-tu d’autres bonnes sources de contenu kinky en français à me recommander, ou est-ce qu’il y en a si peu que tu dois carrément me supplier d’en produire plus en français ? Tu sais, la traduction demande du travail supplémentaire, donc toute aide serait la bienvenue. Si tu es un sub serviable, tu pourrais même traduire des épisodes pour moi, et je les relirais avant de les publier. Ou bien tu peux envoyer un petit signe d’appréciation sur mon Throne et y ajouter un mot pour m’encourager à faire plus de contenu en français. Il suffit d’aller sur Throne.com/HouseSlaveFag.
Tu peux aussi m’envoyer un e-mail à HouseSlaveFag@gmail.com, ou bien un message direct sur Twitter à HSFaggot.
Que tu sois curieux de découvrir plus en anglais, ou que tu aies envie d’en parler à d’autres francophones, sache qu’il existe déjà beaucoup d’épisodes et de récits en ligne. Tu peux les trouver facilement sur mon site ou via le podcast.
J’ai voulu faire un effort pour mes auditeurs francophones. Je suis en mission pour apporter du contenu kinky de qualité au plus grand nombre. Et après tout, mes histoires vécues et mes fantasmes sont universels, sans parler du fait que j’ai aussi fait du cruising dans des villes francophones et que je me suis soumis à des Maîtres à Paris et même dans les Pyrénées françaises. J’ai eu de super expériences en France, au Québec, en Suisse, et aussi à Bruxelles. J’ai même visité une fois un pays francophone d’Afrique, mais je n’y ai pas joué. Bien que je ne sois pas vraiment branché race play réel, j’ai commencé à explorer le fantasme de me soumettre au Black New World Order dans mon histoire de sissification, Tranced & Transformed, qui compte déjà 2 volumes et 20 chapitres. Faire un truc comme ça en vrai pourrait être ultra hot !
Quant à l’épisode d’aujourd’hui, il comprend trois posts de blog traduits de différentes périodes de mes récits. L’un de mes premiers posts sur mon introduction à la chasteté à long terme, qui est devenue un élément central de ma soumission ; un autre sur mes expériences dans trois bars de cruising à Paris — évidemment ; et enfin, en empruntant une section de mon podcast premium, un récit jour après jour de ma dernière croisière avec mon Maître, surtout que les croisières gays sont devenues une expérience clé dans le temps que je passe avec lui et dans les différentes façons dont je peux me soumettre à lui dans cette bulle gay, où tout le monde peut voir que je suis son esclave.
Profite bien !
Chasteté – Jour 11
C’est le onzième jour que je suis enfermé dans une cage de chasteté, avec encore au moins deux semaines prévues, jusqu’à mon rendez-vous avec mon Maître pour un voyage ensemble. Voici donc un petit bilan pour partager mes impressions. J’ai déjà dépassé mon record de dix jours et je suis excité à en perdre la tête. Dans ce post, je veux surtout raconter comment la chasteté m’a transformé.
Commençons par la première fois où j’ai été enfermé dix jours. Mon Maître n’impose pas souvent de longues périodes (comme je l’avais écrit dans mon dernier post), parce qu’il craint que je devienne trop agité et que je ne reste pas à ma place en tant qu’esclave. Mais ces dix jours m’ont aussi rendu incroyablement désireux de lui faire plaisir, et c’est alors qu’il m’a proposé le collier et que j’ai accepté. Cela fait environ cinq ans que nous nous sommes rencontrés, et je lui suis resté fidèle depuis.
Trois semaines pourraient me conditionner à être encore plus désespéré. Déjà je deviens plus salope que jamais. Je suis allé à la salle en mini-short moulant, de sorte qu’on voyait facilement le renflement de la cage. La deuxième fois, je n’ai même pas mis de sous-vêtements, et l’empreinte de la cage était encore plus visible. Je ne la cachais plus non plus avec ma serviette à chaque pas.
Une autre nouveauté : j’ai commencé à partager des photos nues de moi sur Twitter. J'ai encore pris des précautions, comme couvrir mon visage avec un emoji. Mais c’était un grand pas pour moi. J’espère que ça ne reviendra pas me hanter un jour, car j’ai une carrière à protéger. Je pense que le sexe et le kink devraient être célébrés, mais je sais que la plupart des gens ne partagent pas ce sentiment. C’est la principale raison pour laquelle je n’aimerais jamais être une figure publique. Je tiens trop à ma vie privée et à la liberté de profiter du sexe et du kink.
Et puis, une première aussi : j’ai porté ma cage de chasteté à un dîner de famille. Ça m’oblige à accepter que les gens ne lisent pas dans mes pensées et qu’il n’y a aucune raison qu’ils sachent que je suis enfermé. Du moins, tant que je n’arrive pas habillé comme à la salle avec mes fringues de salope.
On voit bien que la chasteté est un moyen très efficace de m’ancrer beaucoup plus profondément dans l'état d'esprit soumis. Dans mon cas, ça veut aussi dire dans un état d’esprit plus salope. Avant la chasteté, je ne pouvais atteindre ce degré de soumission qu’en étant sous supervision 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 d’un Maître, en vivant avec lui au moins quelques jours. Mais sans la chasteté, l’effet n’était pas le même, même si le Maître était très dominant et expérimenté. L’autre chose qui m’a déjà poussé dans cet état de soumission, c’est l’hypnose. Être enfermé me donne envie de retourner à l’hypnose. La chasteté et l’hypnose se renforceraient forcément l'un l'autre. Ensemble, elles pourraient me rendre encore plus désespéré, mais peut-être aussi m’aider à mieux gérer la situation, si le fichier audio que j’écoute m’encourage à la soumission et à accepter la chasteté.
Curieusement, cette fois-ci, l’enfermement me paraît moins difficile que les fois précédentes. Ne te méprends pas : l’effet n’est pas plus faible, comme le montrent toutes ces choses que je viens de faire pour la première fois, en me slutifiant toujours plus. Mais cette fois, je me suis branlé moins souvent. J’ai été plus régulier à garder la cage, sauf la nuit (avec la permission de mon Maître), donc j’ai eu moins d’occasions. Je ne culpabilise pas trop de me branler tant que je ne jouis pas, mais ça ne fait qu’empirer les choses. Être enfermé en permanence peut être une bénédiction de ce point de vue, car ça rend le désespoir plus gérable.
Le vrai mindfuck pour moi reste de ne pas pouvoir jouir. La cage est un rappel constant, mais c’est l’absence d’orgasme qui fait monter l’excitation. Je deviens déjà désespéré après trois jours sans jouir. Autre effet : j’ai commencé à m’offrir davantage comme lope à d’autres mecs. Pour moi, ça veut dire proposer de faire des corvées pour un Maître, même sans sexe derrière. Je deviens juste beaucoup plus avide de servir.
La question de l’enfermement la nuit reste ouverte. J’ai essayé différentes crèmes et huiles mais ça n’a rien changé. Je me réveillais avec des douleurs qui persistaient sous les couilles. J’ai donc commandé un anneau de base plus grand, comme on me l’a conseillé. Le fabricant m’a prévenu honnêtement que ça pouvait marcher, mais qu’il y avait aussi une chance que non. Dans ce cas, il a dit, je ne devrais pas être déçu et que c’est parfaitement normal de se libérer la nuit, car la santé passe d’abord — ce qui est aussi mon approche. Je suis heureux que mon Maître comprenne cela et m’autorise à enlever la cage la nuit, parce qu’une bonne nuit de sommeil est très importante pour moi. Cela dit, j’ai hâte de tester l’anneau plus grand et j’espère qu’il m’aidera.
Je dois aussi trouver un moyen de me décharger plus facilement. Je n’ai rien fait de ce côté et je sais que ce n’est pas bon pour la santé. J’ai lu que jouir moins souvent entraînait de pires effets à long terme. Donc je dois consacrer plus de temps et d’efforts à vider ma prostate, même si c’est en me baisant avec un gode. C’est juste un peu contraignant car je veux aussi me nettoyer avant. Je sens que mon gode serait plus efficace s’il n’y avait rien qui bloquait l’accès à ma prostate… C’est une autre raison d’attendre mon Maître : lui va me baiser. En ce moment je n’ai pas de plans avec d’autres, parce que je me garde pour lui. Il veut juste savoir que je suis 100 % clean au niveau IST. Hier je suis allé faire mes tests, alors je ne vais pas tout gâcher maintenant en baisant avec quelqu’un d’autre. La seule chose dont je dois me souvenir, c’est que même quand il me baise, sa priorité sera de jouir, pas de me faire décharger.
Cruising à Paris
J’adore Paris pour la bouffe, surtout les desserts et le pain. Mais honnêtement, pas trop pour le cruising. Peut-être que je n’étais pas dans le meilleur état d’esprit, surtout après la fermeture de mon compte Patreon. Voilà quand même un petit compte-rendu de mon cruising du week-end.
L’Impact
Samedi soir, je suis allé à L’Impact. C’est un petit bar de cruising avec un petit espace supplémentaire en bas pour jouer. C’était une soirée 100% nudiste et j’étais content de me mettre à poil.
En fait, j’ai choisi de me mettre à poil dans tous les bars de cruising, quel que soit le dress code, comme ça j'expose ma cage de chasteté. Si par le passé j’étais nerveux et sélectif dans mes choix de bars où je me sentais à l’aise pour me montrer en cage, maintenant ce n’est plus une option. Mon Maître a décidé que je devais toujours être en cage dans les bars et les saunas, ainsi que pendant les plans.
De retour à L’Impact, un jeune athlétique m’a abordé dès mon arrivée, avant même que je descende. Il était attirant, même s’il avait un peu d’acné et, je crois, une mauvaise haleine, alors je ne l’ai pas embrassé. Après quelques câlins et un peu de pipe, je me suis tourné vers un autre mec. En fait, pendant que je suçais le premier, un Latino je crois, deux autres Asiatiques sont venus jouer avec nous. J’en ai sucé pendant un moment, mais il était trop twink pour moi : très jeune, très mince et avec une toute petite bite. J’ai beaucoup plus joué avec le deuxième.
Ce type, la vingtaine bien avancée, originaire d’Inde, était plus costaud, certainement athlétique, même si j’étais plus massif que lui. Et je ne suis pas un grand gaillard. Il adorait mes muscles et prenait plaisir à me lécher les tétons. Au début, je l’ai sucé. Il avait une belle bite, pas trop petite. Mais l’ambiance était étrange et j’ai fini par lui demander s’il était soumis aussi, ce qu’il a confirmé. On a fini par se faire de longs câlins et discuter de fétichisme et de Maîtres, mais je suis parti au bout d’une demi-heure environ. Il n’y avait pas plus d’une dizaine de personnes, et aucune ne m’attirait vraiment.
Secteur X
Dimanche, je suis allé au Secteur X vers 16h30 pour le piss. Mais franchement, personne ne me branchait. À part le beau gosse bavard du vestiaire et un passif tatoué et sympa au corps athlétique qui a engagé la conversation et m’a serré dans ses bras, il n’y avait personne avec qui j’avais envie de jouer. Enfin, à part un mec plutôt athlétique qui était probablement aussi soumis. À part eux, il n’y avait pas plus de 20 mecs et aucun ne m’attirait.
Désolé d’être snob. C’est dans ce genre de situations que je réalise que mon fantasme de me faire prostituer serait vraiment difficile à réaliser. Sauf, peut-être, dans une situation comme un « marché aux étalons », où tu ne vois pas qui se sert de toi.
XKBoys (anciennement le Bunker)
Heureusement, on m’a encouragé à ne pas abandonner et on m’a conseillé d’aller du Secteur X vers un autre bar : le XKBoys, anciennement le Bunker. En fait, je me souviens avoir fréquenté les trois bars il y a plusieurs années. Ce week-end-là, le XKBoys était mon préféré. C’était le seul avec des casiers plutôt que des vestiaires. La zone fumeur était plus éloignée que dans les autres bars. Et il y avait beaucoup plus de monde.
Je n’étais pas vraiment emballé par les mecs présents, mais au moins j’ai joué un peu avec quelques-uns. Il y avait un type qui n’était pas particulièrement sportif, mais pas si mal, et quand j’ai senti l’épaisseur de sa bite, j’ai décidé de jouer le jeu. Je l’ai serré un peu dans mes bras, puis je l’ai sucé. Sa bite m’a bien rempli la bouche. J’ai eu une expérience similaire avec un autre type, certainement beaucoup plus âgé que moi, mais j’étais curieux car sa bite semblait énorme. Il était assis, en train de se branler, alors je me suis accroupi et j’ai commencé à le sucer. C’était gros, mais pas aussi épais que je l’avais cru, et je suis passé à autre chose assez vite.
Il y avait aussi un autre mec, un black très musclé, qui portait un short et un t-shirt, ce qui était inhabituel. Presque tout le monde était nu, ou en jockstrap au maximum. Quand il m’a dit que ce n’était pas trop son truc, j’ai pensé qu’il était timide ou discret, mais vu la façon dont il m’a utilisé un instant plus tard, je suppose qu’il n’était tout simplement pas du genre à embrasser et à câliner. Même s’il avait un corps musclé tellement agréable à serrer dans mes bras.
Bref, il préférait clairement me mettre à genoux pour le sucer. Sa bite ne paraissait pas énorme au début, mais elle a grossi et est devenue vraiment épaisse et dure, peut-être plus grosse que toutes celles que j’avais sucées là-bas. Il a tenu ma tête et a enfoncé sa bite aussi profondément que possible dans ma gorge, encore et encore. J’ai adoré sentir ses pecs et ses biceps pendant que j’étais en bas, à le sucer. Je l’ai sucé longtemps !
Mais là, j’en avais eu assez. Je savais qu’il n’y avait pas grand-chose d’autre à voir et, de toute façon, j’aime repartir avec un bon goût en bouche — alors je suis parti. Voilà pour Paris.
4e Croisière avec Mon Maître : Jour après Jour
Je vais essayer de rafraîchir ma mémoire du voyage — jour par jour. J’ai retrouvé mon Maître à l’aéroport de Barcelone la veille du départ. Il voulait profiter au maximum de son temps en ville, donc il s’est préparé rapidement à l’hôtel et nous sommes sortis.
J’avais repéré un bon restaurant pour goûter aux tapas locaux avec lui, ou pinchos comme on dit en catalan. J’avais la permission de le regarder dans les yeux, suivant notre tradition, puisque c’était notre premier repas de ce voyage. Ensuite, nous sommes allés explorer la scène des bars gays. Ça ne me branchait pas trop, mais c’était en milieu de semaine, donc il ne fallait pas s’attendre à grand-chose.
Dans l’un des bars, nous avons rencontré un couple sympa qui faisait aussi la croisière, et on a souvent fini par danser avec eux dans la soirée. L’un d’eux était un Dom bien dessiné, mais comme mon Maître n’était pas vraiment dans l’idée de jouer beaucoup, je n’ai fini par lui proposer du sexe que l’avant-dernier jour. Ça n’a rien donné, il avait déjà ses plans prévus.
Le lendemain, nous avons pris un petit-déjeuner tardif à l’hôtel et sommes allés voir la Sagrada Familia à son ouverture, seulement à 13h. Il a fallu ensuite se dépêcher pour récupérer nos bagages à l’hôtel et embarquer sur le bateau.
La croisière a commencé sur une promesse, celle d’une drag queen, La Voix. Elle a ouvert son show avec une chanson de Queen, chantant « Tonight I’m gonna have myself a real good time » et « Don’t stop me now ». J’ai senti que c’était un rappel de m’amuser avec mon Maître comme je l’avais prévu, malgré ma blessure et mes autres inquiétudes.
Après le show, je me suis mis à pomper la bite de mon Maître dans notre cabine. C’était notre première interaction sexuelle depuis son arrivée à Barcelone la veille. En sentant sa bite durcir et en caressant ses gros biceps et ses pecs, je me suis excité encore plus et je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il jouisse.
Ensuite, nous sommes allés à la soirée sur le pont piscine. Après un moment, mon Maître a aussi accepté de m’accompagner sur le dick deck juste à côté. C’était très sombre, mais au moins la lumière de la lune permettait d’apercevoir un peu les visages et les corps. Ce n’était pas très animé parce que beaucoup de gars étaient crevés. Tant de vols avaient été annulés ou retardés à cause d’une tempête à Barcelone. Je suis content que mon Maître n’ait eu qu’une heure de retard environ.
Nous avons tous les deux joué un peu avec un daddy de mon âge. Musclé mais pas très sec. Je l’ai pompé un moment et ensuite mon Maître l’a embrassé. Mon Maître lui a demandé s’il serait prêt à se soumettre. Il n’était pas chaud pour être passif et je ne pense pas qu’il ait vraiment capté l’envie de domination de mon Maître (bandeau sur les yeux inclus), mais il semblait intrigué.
On a fini par jouer avec lui deux fois pendant la croisière, si je me souviens bien. C’était un mec très sympa mais je n’ai pas vraiment aimé le pomper la deuxième fois dans notre cabine. Il revenait tout transpirant du dick deck et ça n’avait pas bon goût. Mais au moins, mon Maître s’est amusé, et lui aussi.
La deuxième nuit, pendant la soirée, mon Maître a proposé d’aller encore au dick deck. Surprenant, non ? Il ne l’a pas admis et il a même dit plus tard aux autres que c’était moi qui l’avais traîné là-bas. Le dick deck était beaucoup plus rempli que la première nuit.
Parmi les gars, j’ai aperçu mon ancien hôte Airbnb. Je crois que je t’avais raconté avant d’aller à Gran Canaria qu’on avait réalisé qu’on faisait la même croisière. Tu te souviens que je t’avais dit qu’il se vantait d’être super bien monté ? Eh bien, OH MON DIEU ! Sa bite est énorme, vraiment. Ça me fait réfléchir si je devrais demander la permission à mon Maître de jouer avec lui si je reste chez lui à nouveau, au cas où quelque chose puisse se développer. Je ne pense pas qu’il aimerait envoyer des photos. Mais peut-être que mon Maître ferait une exception puisqu’il l’a vu en vrai. J’hésite encore, parce qu’il est aussi le proprio de l’appart où je pourrais vouloir retourner, et qu’on avait des opinions politiques très différentes. Mais — sa bite est énorme !
Il y avait un autre mec baraqué avec qui je me suis branlé, mais si je me souviens bien, mon Maître ne m’a pas laissé le pomper. Ou alors il était occupé ailleurs. Tout est flou.
Un autre gars était vraiment musclé, lisse, avec une bonne bite. Grande mais qui tenait bien dans ma bouche. Il aimait me la donner, me serrer contre lui, peut-être me tenir. Il avait des biceps énormes. J’adorais les embrasser et lui lécher les aisselles. Il avait 59 ans. On a échangé nos contacts mais on ne s’est pas revus.
Ibiza était la seule escale où le bateau passait la nuit. Mon Maître et moi avons fait la tournée des bars avec d’autres gars du bateau, puis seuls. C’était chaud et humide. Maspalomas à Gran Canaria est bien mieux ! Meilleur climat, meilleurs prix, et plus de gays. J’ai trouvé marrant que certains aient dépensé autant pour entrer dans des soirées hétéros à Ibiza, alors qu’il y avait déjà les soirées gays du bateau, incluses dans le prix. Mais bon, chacun ses goûts.
Le matin, nous avons loué une voiture et j’ai conduit, comme je le fais quand je lui rends visite chez lui. En plus, il n’est pas habitué à conduire une boîte manuelle. Nous avons roulé plusieurs heures et il a trouvé plein d’occasions pour prendre des photos et faire voler son drone.
Dans une petite ville, deux policiers l’ont contrôlé. L’un parlait anglais sans souci mais l’autre jouait au méchant, restant en espagnol et insistant sur le fait que mon Maître avait des problèmes. Alors j’ai pris le relais pour discuter en espagnol. Finalement, mon Maître s’est excusé et ils l’ont laissé repartir, mais pas avant d’avoir pris une photo de son permis.
La dernière fois que j’avais essayé de le prévenir sur l’usage du drone là où ce n’était pas permis, il s’était vexé. Cette fois, j’ai fait attention, mais j’étais un peu anxieux de devoir encore le prévenir qu’il risquait une grosse amende. En tant que Maître, il n’aime évidemment pas que son sub lui dise qu’il a tort ou qu’il ne peut pas faire quelque chose. Mais en tant qu’esclave qui suit les règles, je ne peux pas m’en empêcher. Le mieux que je puisse faire, c’est me taire, mais ça me coûte de le laisser s'exposer au risque, même si ça ne me retombe pas dessus.
Il a expliqué ensuite que si je lui en disais trop, ça l’empêchait d’avoir une forme de déni plausible, ce que j’ai trouvé absurde. Ne pas connaître la loi ne te protège pas, même si ça peut aider à négocier avec un policier. Mais après que son permis ait été pris en photo, je n'ai pas trouvé raisonnable qu’il continue à sortir le drone ailleurs en Espagne.
Ce n’est pas à un esclave de juger, non ? Je fais de mon mieux pour vivre avec ce comportement tant que je ne sens pas de risque majeur pour moi. Mais j’imagine très bien des scénarios où il aurait des problèmes et où ça gâcherait le voyage pour nous deux. Je trouve incroyable qu’il se fiche de suivre les règles, qu’il aimerait que je ne les suive pas non plus, et qu’en même temps il exige que je suive les siennes à lui. Perso, je pense qu’il est mieux loti avec moi tel que je suis — un sub intello, obéissant, qui suit toutes les règles : les siennes et celles des autorités.
De retour sur le bateau, on s’est fait plaisir chacun à notre façon. Je me suis offert un accord mets-vins au dîner, goûtant quatre vins adaptés à chaque plat. Et il a goûté les miens aussi. Ensuite, il s’est offert un massage gratuit, l’un de ces petits plaisirs que tu peux avoir sur le bateau, gratuit quand c’est moi qui le donne bien sûr.
Ensuite, j’ai fait un lavement, comme il me l’avait demandé, mais je n’ai pas eu l’occasion de bottomer. Le thème de la soirée était la plage, donc j’ai choisi de mettre juste un speedo. Mon Maître a aimé mon look. Je suppose que l’entraînement et le régime ont payé. Mais j’ai été tellement mauvais pendant ces vacances ! Je dois vite reprendre mes habitudes saines dès que j’ai accès à une vraie salle et une cuisine.
Puis nous sommes allés au dick deck pour la troisième fois de la croisière. Mon Maître a joué avec un gars intrigué par l’idée de se soumettre à lui, mais qui n’était pas vraiment prêt et n’est pas venu dans notre cabine. Mais ensuite j’ai vu mon Maître sur le point de le baiser bareback là, sur le dick deck. Ça m’a mis en colère et je lui ai lâché un « What the fuck ? » tel quel. Mon accord pour qu’il me baise bareback est basé sur sa promesse d’être prudent. Il le savait et il s’est écarté.
Je crois qu’il s’est senti coupable, car un moment plus tard il m’a dit que je pouvais bottomer bareback avec un autre gars là-bas qui ne voulait pas de capote. Je lui avais signalé que ce gars ne faisait que du bareback, mais ce n’était pas une demande d’exception de ma part. Il m’arrive de faire ce genre de demandes rares, mais il faut que ça vaille le coup, parce que je ne prends pas de risques pour n’importe qui. C’était toujours avec des Maîtres prêts à m’accueillir quelques jours comme leur esclave, jamais pour un plan rapide.
Ensuite, je suis tombé sur un gars qui m’avait déjà baisé à une soirée à Londres. Je ne l’ai pas reconnu tout de suite mais lui m’a repéré. Puis j’ai souvenu qu’il préférait baiser bareback et qu’il avait du mal à rester dur avec une capote. À l’époque, je lui avais proposé de me baiser avec une capote anale, et quand je lui ai reparlé de cette option, il m’a confirmé que c’était effectivement plus facile pour lui que la capote classique.
Malheureusement, il y avait un autre souci : il voulait embrasser, alors que mon Maître l’avait interdit pendant la croisière, à cause du risque accru de maladies respiratoires. Tu dois te dire « Sérieusement ! » non ? Et cette restriction ne m’a même pas empêché d’être malade ensuite. Mais je sais à quoi m’attendre en partant en croisière avec mon Maître. Aussi étrange que ça puisse paraître sur une croisière gay, le sexe n’est pas le principal pour moi. Du moins jusqu’à ce que je fasse un jour une croisière Atlantis tout seul.
J’avais pensé à une croisière en Amérique latine au début de l’année prochaine, mais l’autre Maître à qui j’avais proposé de partager une cabine n’a pas voulu et j’ai fini par laisser tomber, parce que ce n’était pas idéal de dépenser autant pour moi maintenant.
Donc, comme mon Maître et moi n’avions pas beaucoup joué ce soir-là au dick deck, nous sommes allés manger un morceau. J’étais curieux de la pizzeria. Quand mon Maître a finalement décidé qu’on y aille, j’ai compris qu’il avait renoncé à me baiser ce soir-là.
L’avant-dernier jour, j’ai enfin pu demander à mon Maître à propos de quelques mecs qui exigeaient du bareback pour m’accepter comme sub. Il a fini par céder. L’un d’eux n’est pas revenu sur Grindr depuis un moment et je ne me souviens plus qui était l’autre. Mais maintenant que j’y pense, je pourrais recontacter d’autres Maîtres que j’avais écartés parce qu’ils insistaient pour barebacker. Au moins deux Maîtres très chauds me viennent à l’esprit.
Il m’a dit de faire un lavement avant la high tea party, mais il était trop tard. C’était l’avant-dernier jour et comme tout le monde était plus chaud, ça devenait très compétitif et les mecs avaient déjà leurs plans réservés à l’avance. Franchement ! J’étais quand même content d’avoir trouvé le courage de draguer un mec canon que je convoitais depuis un moment, avec sa pochette Just For Fans. Il ne m’a pas rejeté mais m’a dit qu’il était déjà vidé de ses baises d’avant.
Finalement, mon Maître a pris un plan provisoire avec le daddy, mais il semblait que celui-ci ne pouvait venir que beaucoup plus tard, cinq heures après que j’avais fait un lavement. Peut-être que mon Maître croyait m’avoir dit que le daddy viendrait à coup sûr et à quelle heure, mais pour moi c’était totalement provisoire, et de toute façon, j’étais avec mon Maître tout ce temps et je n’ai pas reçu d’ordre de refaire un lavement. Donc je n’ai pas trop compris sa déception quand j’ai dit l’évidence : je n’étais peut-être plus clean pour me faire baiser, surtout après le dîner.
Alors là, c’était un vrai plaisir pour moi, et j’espère que ça l’a été aussi pour toi. Parfois, écouter mes récits dans une autre langue leur donne une nouvelle vie. Sans parler du fait que le français est tellement musical, et je sens qu’il peut ajouter une dimension intime et érotique à ma façon de raconter.
Je suis vraiment curieux de savoir ce que mes auditeurs francophones en ont pensé. Est-ce que ça t’a plu ? Est-ce que la traduction sonnait juste ?
S’il te plaît, ne crois pas que j’ai fait ça uniquement pour avoir plus d’abonnés. Je tiens vraiment à ce que davantage d’entre vous puissent profiter de mon contenu. C'est toujours sympa d’entendre un auditeur me dire qu’il s’est senti plus confiant pour explorer ses fantasmes secrets, après avoir entendu comment moi je les ai vécus. Après tout, on a tous level droit de profiter de notre plaisir sexuel, et ça inclut le kink, tant qu’on ne fait de mal à personne.
J’avoue aussi qu’il y a une certaine excitation à partager mon contenu avec plus de monde. Après tout, je suis un exhibitionniste, et un peu une salope — mais une salope exigeante. Alors m’exposer à des millions de personnes en plus, ouvrir figurativement mon trou à tant de mecs en plus, et ça m’excite ! Alors merci de m’avoir écouté. Je suis tellement heureux d’avoir pu t'en faire profiter.
Si tu te sens à l’aise avec l’anglais, je t’invite à jeter un œil aux autres épisodes et aussi à mon site web, où tu peux trouver mes posts de blog et mes livres de récits de fantasmes. C’est HouseSlaveFag.ghost.io. Tu peux aussi me retrouver sur Twitter à HSFaggot. Parfois, je partage aussi des photos et vidéos là-bas.
Merci d’avance d’ajouter ton avis et d’en parler à tes amis. Bisous et à la prochaine — prends soin de toi, sois sage... mais pas trop, et amuse-toi bien.